domenica 31 maggio 2020

Con la fine della CHIUSURA riparte la stagione estiva.

BARDONECCHIA
Avec le déconfinement, la saison d’été reprend ses droits
MALETTO

Les installations estivales rouvrent dès ce week-end de Pentecôte. Photo Le DL /Luisa

Le 10 mars dernier, la saison d’hiver prenait fin brutalement. Mais maintenant, la vie a
repris de façon quasi-normale en Italie. La Colomion, gestionnaire du domaine, démarre
ses activités ce week-end, qui comporte un pont puisque le 2 juin est la fête de la
République italienne. Des dispositions sanitaires ont été prises par la région Piémont
(port du masque obligatoire et distanciation), mais on peut de nouveau accéder aux
installations sportives, comme l’“Alpine coaster” et le bike-park. Le premier, ouvert l’été
dernier avec beaucoup de succès, est une luge biplace sur rail, qui dévale sur 300
mètres à travers les bois, accessible aux adultes comme aux enfants, en toute sécurité,
et possibilité de réguler la vitesse. Pour l’instant, la réouverture n’est actée que pour les
week-ends et jours fériés.

lunedì 25 maggio 2020

24 Maggio - I fedeli tornano alle celebrazioni delle Sante Messe

BARDONECCHIA

Retour encore timide des files à l’église

Luisa MALETTO

Les églises, en Italie, ont pu rouvrir leurs portes dès le 18 mai, avec autorisation de célébrer la messe, mais à Bardonecchia, il a fallu attendre dimanche 24 mai, à l’occasion de l’Ascension. L’église Saint-Hippolyte s’est ouverte, pour l’occasion, aux fidèles.

L’entrée était toutefois contingentée. Dans les jours précédents, la police municipale avait défini un nombre maximal de paroissiens dans l’édifice : 217, à raison de deux par banc. Au grand regret du père Franco Tonda, l’affluence n’a pas été à la hauteur de cette limite prévue, et surtout désirée : dans l’esprit de beaucoup, il y a encore la peur de la contagion, à laquelle s’ajoute le port obligatoire du masque, et du lavage des mains à l’entrée.

18 maggio - il momento della Comunione

Durant son homélie, le prêtre a exprimé sa joie de revoir ses paroissiens, dont la majeure partie n’avait plus assisté à la messe autrement qu’à la télévision. Il a aussi déploré le masque obligatoire, qui cache les sourires et ne laisse voir que les yeux, souvent tristes.