mercoledì 24 febbraio 2021

La mobilitazione della montagna

 
Samedi 20 février, toutes les stations de la région ont organisé une flashmob, à l’appel de l’Association régionale piémontaise des entreprises du transport par câble, pour donner de la voix sur la nécessité de travailler pour le monde de la neige.
Pour la haute vallée de Suse, Bardonecchia, Sauze-d’Oulx et Sestrières ont adhéré massivement. À Campo Smith, des moniteurs, des agents des remontées mécaniques, des hôteliers, des commerçants se sont rassemblés. Comme le lundi précédent, ils ont demandé le respect pour ceux qui veulent travailler.« Depuis un an, les saisonniers sont à la maison, a rappelé Nicola Bosticco, administrateur délégué de la Colomion, sans travail, sans revenus. Leurs familles sont à genoux, comme toute l’économie de Bardonecchia. Une nouvelle fois, nous avons été trompés sur l’ouverture des remontées. Nous étions prêts à ouvrir en pleine sécurité sanitaire, et à moins de douze heures, le ministre Speranza, sans tenir compte des graves dommages qu’il infligeait, nous l’a interdit ».
Le même cri d’alarme a été lancé par les maires de Sauze-d’Oulx, Mauro Meneguzzi, et de Sestrières, Gianni Poncet : « La montagne est à terre, et doit repartir avec de l’aide concrète. Nous attendons, le plus tôt possible, des aides pour les travailleurs qui vivent de la montagne et leurs familles ».

Luisa Maletto

mercoledì 17 febbraio 2021

NIENTE SCI - La rabbia di Bardonecchia


BARDONECCHIA

Colère après la fermeture subite des remontées


Il ne s’est même pas passé une journée entre le moment où Bardonecchia était prêt à l’ouverture de ses remontées, annoncée par le gouvernement pour le 15 février, et celui ils ont appris la décision inverse, avec tristesse et colère. En moins de douze heures le nouveau ministre de la Santé, Roberto Speranza, a signé le décret reportant l’ouverture au 5 mars.

   Sur les marches de l’église
Un énorme mouvement de protestation s’est soulevé, se traduisant par une “flash mob”, organisée en quelques heures par la commune, réunissant autour d’elles toute l’économie de la montagne : commerçants, moniteurs, exploitants des remontées, restaurateurs, hôteliers.
Les cloches de l’église Saint-Hippolyte ont sonné, mises en marche par Don Franco, curé de la paroisse, toujours très proche des problèmes de la communauté. Elles ont lancé l’appel dans toute la ville, rassemblant sur la place de l’Église plus de 300 personnes. Sur les marches improvisées en estrade se sont rassemblés le maire Francesco Avato, l’administrateur délégué de la Colomion Nicola Bosticco, le président
 
du Consortium touristique et de la fédération des hôteliers Giorgio Montabone, et le président de l’Union nationale des communautés et collectivités de montagne (Uncem) Marco Bussone.
À l’unisson, ils ont exprimé leur dépit vis-à-vis d’une décision jugée absurde, prise au dernier moment, « un manque de respect pour ceux qui travaillent, notre activité n’est pas un divertissement, c’est un travail au même titre que les autres ».
 
  Quatrième report
« C’est la quatrième fois que nous voyons la date d’ouverture changer », rappelle Nicola Bosticco, « ce fut le 20 décembre, puis le 7 janvier, puis le 18 janvier, et maintenant le
15 février. À chaque fois, nous avons engagé de l’argent pour tout préparer. Nous devons maintenant rembourser tous les forfaits vendus samedi en ligne qui, en raison des restrictions sanitaires, étaient en nombre limité. Nos saisonniers ne toucheront pas de salaire en mars, cela fait un an maintenant ! »
« Les institutions centrales », estime le président de l’Uncem, « à Turin comme à Milan, doivent accomplir une démarche institutionnelle décisive, déterminante. Aujourd’hui, une fracture est ouverte, il va falloir la combler ».
En signe de solidarité avec le monde de la neige, tous les commerces ont baissé le rideau durant trente minutes.

domenica 14 febbraio 2021

ÉPIDÉMIE DE COVID-19 Italie : les stations ouvrent lundi

Jusqu’à présent, les clubs de ski et les athlètes de haut niveau étaient les seuls à pouvoir pratiquer. Photo Le DL/ Sylvain MUSCIO

 

 À Bardonecchia, le domaine n’accueillera que 4 000 skieurs, un tiers de la capacité habituelle. Avec cette jauge, la station tourne à perte, mais pour Nicola Bosticco, son administrateur, ouvrir relève de la responsabilité sociale.

Le palais des fêtes de Bardonecchia, station piémontaise voisine de la France, propose pour la première fois depuis des mois, ce lundi, une exposition. Des photos historiques, sur le thème « Guerre sur les Alpes ». À quelques centaines de mètres de là, au pied des pistes, dans une autre guerre, encore indécise, celle contre la Covid-19, une bataille vient d’être gagnée. Victoire à la Pyrrhus peut-être, car elle coûtera plus cher qu’une retraite en rase campagne, mais victoire tout de même : les remontées mécaniques ouvrent ce lundi.
« Depuis quatre ou cinq jours, on ne parle plus que de ça », avoue Nicola Bosticco, administrateur délégué de la Colomion, société privée qui exploite le domaine skiable, et beaucoup d’activités qui vont avec, de la restauration d’altitude aux loisirs de substitution. Pour lui, c’est clair, « on s’est diversifié, mais rien ne remplace le ski. La randonnée et le reste n’ont pas de modèle économique ».

  Une ouverture à perte
Les particuliers vont donc rejoindre, sur les pistes, les jeunes des clubs de ski, déjà autorisés à s’entraîner, comme les athlètes de haut niveau (Alexis Pinturault et Tessa Worley en ont d’ailleurs profité avant les Mondiaux de Cortina d’Ampezzo). Sur place, c’est un « ouf » de soulagement. « Au moins 60 % de la population active travaillent dans le tourisme », calcule Francesco Avato, maire de cette commune de 3 200 habitants. Il y a, par exemple, 300 moniteurs de ski. Comme dans les autres secteurs mis à l’arrêt à cause de la crise, ils se trouvaient sans revenu. « Nous n’avons eu aucune indemnité », confirme Emanuela Bortolotti, directrice adjointe de la Scuola sci Bardonecchia, la plus ancienne des écoles locales (80 moniteurs). Faute de dispositif national, la région Piémont envisage d’en créer un, mais les concertations avec Rome sont toujours en cours. Ce ne sera, de toute façon, qu’une enveloppe globale à répartir entre tous les sinistrés de la Covid. 

Nicola Bosticco compte lui aussi sur les aides étatiques. Il confie même que sans elles, l’économie italienne de la montagne ne survivra pas.  Or la Colomion n’a rien touché depuis la fermeture soudaine intervenue le 7 mars 2020. Elle pourrait percevoir, au maximum, 49 % du chiffre d’affaires perdu, soit environ 4 millions d’euros, « mais on a des coûts en face de ça, et c’est seulement si l’État a l’argent », remarque-t-il. Les charges fixes d’exploitation représentent 70 % des recettes des remontées mécaniques.
L’ouverture à voilure réduite à partir de ce lundi ne couvrira pas les frais. « On va tourner à perte, mais nous nous devons d’ouvrir », insiste le chef d’entreprise, « parce que nous sommes dans un milieu montagnard, avec une responsabilité économique et sociale ».
Derrière les remontées mécaniques, c’est tout un milieu qui redémarre. Les pistes accessibles, les clients reviennent. C’est compliqué, parce que les déplacements entre régions sont toujours interdits, au moins jusqu’au 25 février. La clientèle sera donc essentiellement piémontaise, sauf pour les propriétaires de résidence secondaire, qui peuvent venir même s’ils habitent Milan ou Gênes.
On ne constate donc pas encore de ruée sur les réservations hôtelières. Résultat, « les plus gros hôtels restent fermés », constate Giorgio Montabone, président du Consortium touristique. Depuis Noël, « les petits magasins tournent un peu », reconnaît Francesco
Avato, mais les théâtres, cinémas et équipements sportifs restent fermés, et les restaurants sont ouverts le midi seulement, sauf pour la vente à emporter. De ce côté-là, rien ou presque ne va changer dans l’immédiat.
N’importe, cette réouverture des remontées est vécue comme un signe d’espoir. « Nous avons beaucoup de demandes », sourit Emanuela Bortolotti. En face de l’espoir, il y a le doute, car si le taux de réplication du virus, aujourd’hui à 0,93, dépasse 1,25, le Piémont repassera en « zone orange », donc sous cloche. La monitrice résume la situation : « nous ne sommes pas sereins, mais nous sommes heureux. C’est peut-être un beau signal de retour à la normalité ».






venerdì 12 febbraio 2021

Guerra sulle Alpi, dallo Chaberton al Vallo Alpino - Mostra Storica


ASSOCIAZIONE “MONTE CHABERTON”

Apertura Mostra storica, Palazzo delle Feste, 15 e 16 febbraio 2021.
Dopo il lungo periodo di interruzione dovuto alle restrizioni per il contenimento del contagio da Covid-19 l’Associazione “Monte Chaberton” e il Comune di Bardonecchia sono lieti di comunicare che il percorso museale denominato “Guerra sulle Alpi, dallo Chaberton al Vallo Alpino” sarà nuovamente fruibile al pubblico nelle giornate di lunedì 15 e martedì 16 febbraio prossimi in concomitanza alle animazioni degli eventi correlati al carnevale 2021.
La mostra permanente allestita dai soci dell’associazione all’interno dei locali del Palazzo delle Feste ed inaugurata ufficialmente il 02 agosto scorso è incentrata sulla narrazione dei fatti bellici del giugno 1940 sviluppatisi lungo “fronte alpino occidentale” e sulla nascita e successiva evoluzione del sistema difensivo del “Vallo Alpino”, annoverante, proprio nella conca della “Perla” numerose opere costituenti l’allora VIII settore di copertura della Guardia alla Frontiera. Protagonista degli spazi espositivi non poteva non essere però la celeberrima 515^ batteria del Forte Chaberton posto sulla vetta dell’omonima cima a 3.131 mt di quota e da sempre conosciuta come la più alta ed ardita d’Europa e rappresentata in mostra dal modello didattico realizzato da Ottavio Zetta.
I visitatori durante questo viaggio all’indietro di più di ottant’anni e guidati dai volontari in forza al sodalizio potranno osservare da vicino uniformi, equipaggiamenti, documenti, fotografie immagini ed oggetti di vita quotidiana che ben raccontano i fatti storico militari che dalla fine del XIX secolo a tutti gli anni ’40 del secolo scorso hanno profondamente interessato e segnato il territorio alpino dell’Alta Valle Susa.

https://www.bardonecchia.it/apertura-mostra-storica-guerra-sulle-alpi-dallo-chaberton-al-vallo-alpino/

La mostra, con ingresso gratuito, aprirà nelle giornate indicate negli orari 16.30-19.00 presso i locali del Palazzo delle Feste di Bardonecchia  (TO), in Piazza valle Stretta 1.
In ottemperanza alle attuali prescrizioni anti contagio vigenti l’ingresso, contingentato per ridotti gruppi di persone alla volta, prevede l’obbligo di controllo della temperatura corporea, di uso della mascherina e di igienizzazione delle mani.


Per informazioni:

www.montechaberton.it
Facebook: Monte Chaberton-515 Batteria Guardia alla frontiera
Info@montechaberton.it
+39 338.6141121
+39 340.6636336
+39 393.8549115
 
Ufficio del Turismo di Bardonecchia
+39 0122.99032
info.bardonecchia@turismotorino.org
www.bardonecchia.it


giovedì 11 febbraio 2021

La Saint-Valentin et le Carnaval, malgré la crise

Dans le plein respect des normes sanitaires, destinées à contenir la diffusion de la pandémie, la Pro Loco, en liaison avec le Consortium touristique et avec le soutien de la commune, propose quelques événements liés à la Saint-Valentin et au carnaval, du 13 au 21 février.
 Le premier a été baptisé “Bowling humain, viens faire un strike”. Il prendra place les samedi 13 et dimanche 14 février, devant le palais des fêtes. Les participants devront entrer sur une énorme piste de bowling et se lancer en visant les quilles disséminées le long du parcours.
 Du 13 au 21, pour célébrer la Saint-Valentin, un panneau de 6 mètres de long intitulé “Bardo in love” sera installé dans les jardinières devant la mairie. Tout le monde pourra y prendre des photos ou des vidéos, ou écrire une dédicace ou un témoignage d’amour sur le tableau adjacent.
Luisa MALETTO, Alberte RETORNAZ



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